Hier
Voilà voilà. C'est la rentrée. Enjoy.
jeudi, août 31, 2006
lundi, août 28, 2006
Je veux un chapeau melon ! =_=
Une autre, parce que c’est tellement moins long que de colorier avec des crayons de bois !!
Ça faisait longtemps que je n’avais pas réessayé l’aquarelle, enfin, il me semble. Quand j’étais plus jeune, en troisième ou même plus tôt, ma mère m’avait acheté une petite valise rouge et jaune avec tout un matériel d’aquarelle dedans. Je l’ai encore, rangé en dessous de mon bureau, ça prouve que je n’ai jamais été très porté vers ça. Mais comme coloriage c’est chouette ! J’essaierais pitètre de mettre en couleur une planche avec ça, hé.
(En même temps je mets le site d’un vrai aquarelliste, http://www.gilbertlacasse.ca/, wala. C’est mon parrain. Ça vaut le coup de jeter un coup d’œil... je trouve ce qu’il fait sublime, surtout ses oiseaux !)
Une autre, parce que c’est tellement moins long que de colorier avec des crayons de bois !!
Ça faisait longtemps que je n’avais pas réessayé l’aquarelle, enfin, il me semble. Quand j’étais plus jeune, en troisième ou même plus tôt, ma mère m’avait acheté une petite valise rouge et jaune avec tout un matériel d’aquarelle dedans. Je l’ai encore, rangé en dessous de mon bureau, ça prouve que je n’ai jamais été très porté vers ça. Mais comme coloriage c’est chouette ! J’essaierais pitètre de mettre en couleur une planche avec ça, hé.
(En même temps je mets le site d’un vrai aquarelliste, http://www.gilbertlacasse.ca/, wala. C’est mon parrain. Ça vaut le coup de jeter un coup d’œil... je trouve ce qu’il fait sublime, surtout ses oiseaux !)
vendredi, août 25, 2006
jeudi, août 24, 2006
lundi, août 21, 2006
dimanche, août 20, 2006
Chanson de la semaine - 2
-C’est le premier anniversaire de notre rencontre.
-Je t’ai fait un cadeau, non c’est pas une montre. Tu te rappelles le village dans les Alpes cet été ?
-Cette église incroyable, la vue sur la vallée ?
Dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou...
-Ça fait un an aujourd’hui que nous nous connaissons.
-Je t’ai fait un cadeau, non c’est pas des bonbons ! Ça s’décore, ça s’visite, j’ai pensé aux enfants.
-Quand même pas un chalet ?
-Tu devines pas mon ange ? Une concession, une jolie concession, ouh ouh ouh... Dans le petit cimetière de Jasseron.
-C’est pas la plage de Sête.
-C’est pas non plus la Crête !
-C’est pas le Parthénon.
-Un genre de Panthéon...
-C’est pas Ur ni Ephèse.
-Je serais une belle Mère Lachaise.
-C’est pas le Taj Mahal
-Putain c’est pas banal...! Une concession, une jolie concession, ouh ouh ouh... Dans le petit cimetière de Jasseron.
-Tu refuse l’amour éternel à nos p’tits corps...
-Mon ami, l’amour éternel, c’est avant la mort ! J’aurais imaginé un cadeau moins macabre qu’une dalle en béton !
-On peut prendre un beau marbre, faire un jardin d’hivers...
-Pourquoi pas un salon ? Moi je t’aime et je vais en faire une pour de bon. Une concession, une jolie concession, ouh ouh ouh... Le premier attend l’autre à Jasse...
Une concession, une jolie concession...
Ouh ouh ouh...
Le premier attend l’autre à Jasseron.
Jasseron - Frank Monnet/Émily Loizeau
-C’est le premier anniversaire de notre rencontre.
-Je t’ai fait un cadeau, non c’est pas une montre. Tu te rappelles le village dans les Alpes cet été ?
-Cette église incroyable, la vue sur la vallée ?
Dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou dou...
-Ça fait un an aujourd’hui que nous nous connaissons.
-Je t’ai fait un cadeau, non c’est pas des bonbons ! Ça s’décore, ça s’visite, j’ai pensé aux enfants.
-Quand même pas un chalet ?
-Tu devines pas mon ange ? Une concession, une jolie concession, ouh ouh ouh... Dans le petit cimetière de Jasseron.
-C’est pas la plage de Sête.
-C’est pas non plus la Crête !
-C’est pas le Parthénon.
-Un genre de Panthéon...
-C’est pas Ur ni Ephèse.
-Je serais une belle Mère Lachaise.
-C’est pas le Taj Mahal
-Putain c’est pas banal...! Une concession, une jolie concession, ouh ouh ouh... Dans le petit cimetière de Jasseron.
-Tu refuse l’amour éternel à nos p’tits corps...
-Mon ami, l’amour éternel, c’est avant la mort ! J’aurais imaginé un cadeau moins macabre qu’une dalle en béton !
-On peut prendre un beau marbre, faire un jardin d’hivers...
-Pourquoi pas un salon ? Moi je t’aime et je vais en faire une pour de bon. Une concession, une jolie concession, ouh ouh ouh... Le premier attend l’autre à Jasse...
Une concession, une jolie concession...
Ouh ouh ouh...
Le premier attend l’autre à Jasseron.
Jasseron - Frank Monnet/Émily Loizeau
mercredi, août 16, 2006
Nouveau concept d'la mort qui tue !! Ça faisait longtemps que j’en avais envie. Donc voilà, quand bon me semblera, parce que c’est moi qui décide ici, je ferais un dessin en rapport avec une chanson.
Mais pourquoi donc ?
Parce que cela me semble juste et bon, mes nenfants.
On commence alors :
Mais pourquoi donc ?
Parce que cela me semble juste et bon, mes nenfants.
On commence alors :
"J’t’ai aimée jusqu’à la corde
Triste poupée
J’en ai pleuré des cordes
La fontes des neiges éternelles
À épuiser la folie"
Triste Poupée – Yann Perreau
mardi, août 15, 2006
Stape 1 : Encrage. Malheureusement j'ai pas scanner le brouillon, eh !
Stape 2: Mise en place des couleurs principales. J'arrive jamais à trouver la couleur des cheveux au début, juste quand la majeure partie du coloriage est terminée. Allez savoir..
Stape 3: Béh coloriage quoi.
Stape 4: Mise en couleur du fond, moi c'est toujours le même truc parce que j'ai pas d'imagination ^^'
Et voulaaaaa !! (je voulais juste essayer de scanner les différentes étapes, c'est vraiment innutile et insignifiant, je saiiiiis)
Stape 2: Mise en place des couleurs principales. J'arrive jamais à trouver la couleur des cheveux au début, juste quand la majeure partie du coloriage est terminée. Allez savoir..
Stape 3: Béh coloriage quoi.
Stape 4: Mise en couleur du fond, moi c'est toujours le même truc parce que j'ai pas d'imagination ^^'
Et voulaaaaa !! (je voulais juste essayer de scanner les différentes étapes, c'est vraiment innutile et insignifiant, je saiiiiis)
lundi, août 14, 2006
Sur moi pesant
Quand je sens sur moi, pesant
Le regard de tous ces gens
Qui s’entêtent à se dire
Oh vous jeunes oiseaux
Restez tous bien au chaud
En vos nids de pacotilles.
Le temps n’est autre qu’un fardeau
Il vous courbera le dos
Et vous creusera de rides ;
C’est alors que je plante mon ancre
Que j’accroche mes rêves
Sur la nappe toute d’encre
Qui m’endors, qui m’apaise
Je reste immobile sur mon petit îlot
En narguant le ciel :
Où les vagues s’échouent-elles ?
Que je ne les suive pas
Moi je reste comme je suis
Je suis trop bien ici
Quand je sens sur moi, pesante
Dame Solitude, souriante
Qui s’entête à m’écraser
De tout son poids, en me soufflant
Qu’il viendra un jour
Où elle laissera mes ailes pousser
Mais que de douleur
Chaque être est apaisé
Soit l’instant ou il meurt
Soit celui ou enfin il consent
À naviguer au gré du courant
Je plonge alors en eaux troubles
Tête première dans un monde flou
Les vagues m’emportent au-delà
À leur suite, je vogue par leurs ébats
Aucunes attaches, je n’ai plus rien
Une éternelle suite de lendemains.
Je ne suis qu’une étincelle
Un infime grain de sel
Dans une mer terrible qui s’en fou.
Quand je sens en moi, pesant
Mon pauvre cœur en ballant
Qui me crie de décider
Alors je ne sais plus quoi rêver
Le regard de tous ces gens
Qui s’entêtent à se dire
Oh vous jeunes oiseaux
Restez tous bien au chaud
En vos nids de pacotilles.
Le temps n’est autre qu’un fardeau
Il vous courbera le dos
Et vous creusera de rides ;
C’est alors que je plante mon ancre
Que j’accroche mes rêves
Sur la nappe toute d’encre
Qui m’endors, qui m’apaise
Je reste immobile sur mon petit îlot
En narguant le ciel :
Où les vagues s’échouent-elles ?
Que je ne les suive pas
Moi je reste comme je suis
Je suis trop bien ici
Quand je sens sur moi, pesante
Dame Solitude, souriante
Qui s’entête à m’écraser
De tout son poids, en me soufflant
Qu’il viendra un jour
Où elle laissera mes ailes pousser
Mais que de douleur
Chaque être est apaisé
Soit l’instant ou il meurt
Soit celui ou enfin il consent
À naviguer au gré du courant
Je plonge alors en eaux troubles
Tête première dans un monde flou
Les vagues m’emportent au-delà
À leur suite, je vogue par leurs ébats
Aucunes attaches, je n’ai plus rien
Une éternelle suite de lendemains.
Je ne suis qu’une étincelle
Un infime grain de sel
Dans une mer terrible qui s’en fou.
Quand je sens en moi, pesant
Mon pauvre cœur en ballant
Qui me crie de décider
Alors je ne sais plus quoi rêver
vendredi, août 11, 2006
mercredi, août 09, 2006
dimanche, août 06, 2006
samedi, août 05, 2006
Me revoilou
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