Quel est mon sujet.
Mon but.
Et mon moyen pour réaliser tout ça.
Questionnement. Je ne sais pas. L’adolescence est-elle un sujet valable, illustrer la réalité du passage de l’enfance vers le monde adulte un vrai " but " et une bande dessinée un moyen valable ? Argh. Ça sonne niais, je pense pas que ce sera accepté... si ? Faire une histoire basée sur le génocide Rwandais serait beaucoup plus pris au sérieux. Un signe d’ouverture sur le monde ! Wow ! Les jeunes sont si sensibilisés, au P.E.I. ! Et orienter ma bande dessinée autour du suicide, de la drogue, de la prostitution, ça aussi ce serait bien ! Mais non, voilà, je suis trop nombriliste pour ça.
En fait, je veux parler de la mort d’une jeune fille. Pas un suicide, non ! Un accident. Sa mort, donc, et l’histoire de ses amis, surtout celle-là. Changer de sujet pour m’orienter vers quelque chose de plus facile à fixer à une des fameuses aires d’interaction de l’O.B.I., j’aimerais bien, mais je m’en sens incapable. Je me suis fait un genre de serment, à la suite d’un loooong questionnement philosophique intérieur qui est 1 : très long, 2 : très compliqué, et 3 : très chiant. Très bizarre, inexplicable même. Questionnement que je ne raconterais pas, parce que je veux passer pour saine d’esprit, merci bien.
Quoi qu’il va bien falloir que je déballe ça devant mon superviseur (Mon dieu ! Faites que ce ne soit pas Larouche !!!) et aussi dans mon rapport de 4000 mots sur mon Projet personnel. Joie !
RAAAHH ÇA M’EMMERDE BORDEL. Fé chier. Bon, je me tais, je vais cogiter sur ça en essayant de trouver un bon moyen de bien " formuler ma pensée " selon les mœurs Obiennes. Puis peut-être que la rencontre de demain éclaircira mon futur...
Okay j’arrête maintenant.
Chut.